Тиво?Проявляет благородство, или показывает его, "вступая в отношения", оказывая гостеприимство.
Проявляет благородство, или показывает его, "вступая в отношения", оказывая гостеприимство.
Значение "благородный" из соответствующего этнонима.Тут еще такой момент. арья в буддизме "благородный", даже истины их - "чатвари арья-сатьяни".
Каким образом чужаки стали благородными. Вриддхированием?
Грубо говоря, ārya- — это тот, кто связан с ari-, прежде всего, вступая с ним в отношения гостеприимства (āryaman-)
чужаки, но свои
чужак может быть соперником, а может оказаться гостем.
Quote from: Jean KELLENS. LES AIRIIA- NE SONT PLUS DES ÂRYAS: CE SONT DÉJÀ DES IRANIENSIl convient d'insister sur le fait que les mots sanscrit ārya- et iranien ancien av. airiia- 1 v.-p. ariya- sont ancrés d'une manière toute différente
dans leur langue respective. Alors que les mots iraniens sont isolés, le sanscrit védique atteste une chaîne dérivationnelle complète :
1. le dérivé primaire en -i- ari-,
2. le dérivé secondaire en -i̭a- dissyllabique arya-,
3.le dérivé secondaire en -i̭a- avec vrddhi et trisyllabique à une exception près ārya-.
<...>
De ce point de vue, la solution de Thieme, "l'étranger", considéré tantôt comme" ennemi", tantôt comme" hôte", et celle de Dumézil-Benveniste, le " compatriote ", considéré tantôt comme " collègue ", tantôt comme " concurrent ", tout antagonistes qu'elles paraissent, sont méthodologiquement analogues
Il convient d'insister sur le fait que les mots sanscrit ārya- et iranien ancien av. airiia- 1 v.-p. ariya- sont ancrés d'une manière toute différente
dans leur langue respective. Alors que les mots iraniens sont isolés, le sanscrit védique atteste une chaîne dérivationnelle complète :
1. le dérivé primaire en -i- ari-,
2. le dérivé secondaire en -i̭a- dissyllabique arya-,
3.le dérivé secondaire en -i̭a- avec vrddhi et trisyllabique à une exception près ārya-.
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De ce point de vue, la solution de Thieme, "l'étranger", considéré tantôt comme" ennemi", tantôt comme" hôte", et celle de Dumézil-Benveniste, le " compatriote ", considéré tantôt comme " collègue ", tantôt comme " concurrent ", tout antagonistes qu'elles paraissent, sont méthodologiquement analogues
